Quel est votre rêve le plus fou ? Est-ce être maître de votre destinée ? Vivre votre passion ? Ou peut-être est-ce perdre 10 kg ou avoir des abdos définis ? Aussi loin ce rêve semble-t-il, si vous êtes prêt(e) à faire tout ce qu’il faut pour l’atteindre, vous y arriverez. Lena y est parvenue. Elle a cru en elle et en ses capacités. Voici comment elle a réussi à réaliser son rêve le plus fou. Lisez son histoire et inspirez-vous en pour réaliser le vôtre.
Salut, je m’appelle Lena. J’ai 24 ans et j’habite actuellement à Berlin. Il y a quelques mois, vous ne m’auriez jamais surprise en train de faire du sport. Ma sœur a toujours été la sportive de la famille. Je faisais semblant de dormir lorsqu’elle essayait de me convaincre de venir m’entraîner avec elle le samedi matin. Le sport et moi avons toujours eu une relation par intermittence. Autrefois, j’étais très sportive. Je faisais du volleyball, beaucoup de natation et je courais régulièrement. Mais les choses ont changé quand je suis entrée à l’université. Mon attention s’est davantage portée sur les soirées. J’ai pris de mauvaises habitudes alimentaires et je ne m’accordais pas de temps pour faire de l’exercice. Bien sûr, je m’amusais beaucoup, mais mon corps a commencé à réagir d’une manière très déplaisante. J’ai commencé à me sentir mal dans ma peau, notamment à cause de la graisse autour de mes hanches.
Encore et toujours des excuses
Au début de l’année 2015, j’ai déménagé à Berlin pour un stage. Je me suis promis qu’en entamant ce nouveau chapitre de ma vie, j’allais également me reprendre en main. Visiblement, c’est plus facile à dire qu’à faire. J’avais moins de temps libre, j’étais plus stressée, je n’avais quasiment pas le temps de cuisiner et ne mangeais donc que de la nourriture toute prête. Mon désir de faire du sport s’est envolé. L’été est arrivé et j’ai été prise par le travail. Je me suis dit que, de toute façon, je n’avais pas le temps de porter mon bikini et qu’en été, il fait beaucoup trop chaud à Berlin pour faire du sport. Je portais des vêtements amples pour dissimuler mes zones problématiques et je pensais que le fait de les ignorer les ferait disparaître. C’est ainsi que je me suis trouvé excuse sur excuse.
Cependant, une chose incroyable s’est alors produite : j’ai reçu une newsletter. Freeletics recherchait des personnes pour tester un nouveau produit pendant quatre mois à Berlin. Une application pour s’entraîner en salle de sport qui n’était pas encore sortie. Sachant que j’avais toujours été intéressée par Freeletics, je n’ai pas pu m’empêcher de saisir cette chance. Même si mes amis et ma famille ont pour certains eu des réactions négatives, telles que « Freeletics est bien trop difficile », j’ai reçu dans l’ensemble des commentaires encourageants qui m’ont fait me sentir suffisamment confiante pour accepter le défi.
Le début a été très dur. Je devais me lever plus tôt que jamais pour avoir le temps d’aller à la salle de sport et j’ai dû recommencer à préparer ma nourriture. Il m’a fallu du temps non seulement pour m’habituer à cette routine matinale, mais aussi pour gérer mon manque de confiance en moi. Je ne me sentais pas à l’aise à la salle de sport, notamment dans la zone de musculation. Je n’aimais ni les poids lourds, ni l’ambiance, ni le regard de tous ces culturistes stéréotypés qui ressemblent à des armoires à glace. Je me sentais jugée sans arrêt!
Toutefois, j’aspirais à ne plus avoir « aucune excuse ». Le programme d’entraînement hebdomadaire que le Coach de Freeletics Gym me donnait m’a beaucoup aidé à respecter cette devise. Il m’indiquait exactement ce que je devais faire, comment le faire et quand le faire. J’ai commencé à ignorer tout ce qu’il y avait autour de moi pour me concentrer uniquement sur mes progrès personnels. Je me suis également trouvé un partenaire d’entraînement. Le fait d’être ensemble a énormément facilité les choses. J’ai commencé petit à petit à apprécier les séances d’entraînement et, au bout d’un moment, je me suis habituée à cette routine.
Bien sûr, j’étais parfois en retard pour les workouts ou je n’avais pas envie d’y aller du tout. Mais sauter une journée ne constituait plus une option. J’ai remarqué que j’étais de plus en plus impatiente de ressentir cette sensation post-workout. Évidemment, c’était difficile et j’avais mal. Très mal. Mais c’était plus la sensation du travail acharné qu’une vraie douleur. Commencer chaque journée en travaillant sur moi-même me faisait me sentir plus équilibrée et détendue pour le reste de la journée. J’ai pris confiance en moi et je peux honnêtement dire que je ne me suis jamais sentie aussi motivée de ma vie !
Les changements physiques ont pris du temps
J’étais persuadée que j’allais bientôt également constater des changements dans mon apparence physique. Mais j’ai appris péniblement que ça n’arrivait pas du jour au lendemain. Notamment en ce qui concerne ma zone problématique : mes poignées d’amour. Cependant, j’ai constaté d’autres changements. Je suis d’abord devenue plus forte, je pouvais augmenter mes poids presque chaque jour. Mes jambes et mes bras se sont tonifiés et définis. J’aimais ce à quoi ils commençaient à ressembler ! Toutefois, je n’en oubliais pas mon objectif principal : perdre cette graisse superflue et indésirable sur mes hanches.
À la sixième semaine, je crois, je me suis regardée dans le miroir et j’ai comparé mon reflet actuel avec une photo prise au début. C’était finalement arrivé : la graisse avait commencé à fondre ! Cela m’a alors motivée pour repousser encore davantage mes limites. À partir de ce moment-là, j’ai donné tout ce que j’avais, à chaque séance d’entraînement, chaque workout et chaque répétition.
Après 16 semaines, des tonnes de poids, de nombreux matins et d’innombrables heures passées à la salle de sport, je me suis vue comme une tout autre personne. Non seulement mes hanches et mon corps dans son ensemble paraissaient plus minces, mais je me sentais aussi incroyablement bien. J’ai commencé à porter des collants et des maillots de sport sans avoir honte. Et les changements n’ont pas été que physiques. C’était la première fois depuis des années que j’acceptais un défi aussi difficile et, non seulement je m’y suis tenue, mais j’ai aussi repoussé mes limites pour donner le meilleur de moi-même !
J’y ai consacré quatre mois de ma vie. Du temps que j’aurais pu passer à faire des grasses matinées. Du temps que j’aurais pu perdre à rester dans mon canapé. Mais j’ai choisi d’aller à la salle de sport et de travailler sur moi-même et sur mes objectifs. J’ai pris la bonne décision. Et je ne me suis pas arrêtée là. Je continue de m’entraîner régulièrement à la salle de sport avec mon partenaire et j’ai également ajouté des séances de course à pied à ma routine. Je me donne deux fois plus à chaque workout et à chaque course à pied. Actuellement, je m’entraîne même pour courir un semi-marathon.
Bien entendu, je n’aurais pas été en mesure d’obtenir ces résultats sans une alimentation saine. C’était difficile au début, mais j’ai ensuite remarqué qu’à l’instar de ma condition physique, mon appétit avait lui aussi curieusement changé. Manger sain est devenu normal. J’ai réalisé que l’organisme semblait avoir grand besoin de vitamines pour récupérer et pour être plus performant au workout suivant. Désormais, j’aime également cuisiner toutes sortes de choses, des choses auxquelles je n’avais jamais vraiment prêté attention auparavant. Mes amis et ma famille m’ont même demandé des conseils sur les exercices à réaliser et sur ce qu’il faut manger. J’adore être une source d’inspiration pour eux.
Aujourd’hui, six mois plus tard, je suis tellement heureuse de l’avoir fait. Je me sens bien et je mange bien. D’accord, parfois je triche, mais à mon avis ça fait partie du marché.
J’aimerais profiter de cette chance pour motiver autant de personnes que je le peux à se bouger et à tout simplement essayer. Levez-vous, donnez tout ce que vous avez et observez le changement qui s’opère sur vous aussi. Bougez-vous et voyez par vous-même que le travail acharné porte ses fruits. Vous découvrirez que vous prendrez du plaisir à le faire. C’est une aventure difficile mais elle m’a fait devenir la personne que je suis aujourd’hui. Et je n’aimerais être personne d’autre.